Dour avant-après : portraits de festivaliers

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Dour avant-après : portraits de festivaliers

VICE vous a tiré le portrait avant et après cette épopée indescriptible qu’est le festival de Dour.
Matéo Vigné
Brussels, BE

Cette trentième édition du festival de Dour a tenu toutes ses promesses. Programmation, ambiance, météo, site, on en passe et des meilleures. Or, comme on le dit souvent, « people make places ». Dans ce cas-ci, people make Dour. Nous sommes partis à la rencontre de ceux qui ont eu la chance de le vivre, afin d’immortaliser les traces laissées par le festival sur votre tête et dans votre esprit. Certes, il n’a pas toujours été facile de remettre la main sur certains d'entre vous le dimanche, mais pour la plupart, vous avez tenu vos promesses.

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Wendy, insatiable : « Même après cinq jours, on est encore là et prêts à tout donner. »

Emilie, fatiguée : « Je pense que cette fois-ci, on ne va pas demander où est l’after. »

Aleks, cuit à point : « Poser pour la photo, ça me demande pas mal d’efforts, alors sous ce soleil, je ne pense pas être capable de vous sortir une phrase mythique. »

Miro, altruiste : « Je pense que vous allez être servis, j’ai bien fait la fête. Facile de voir quelle photo est avant et quelle photo est après. »

Christelle, déterminée : « On a tout donné pour danser, chanter, garder le sourire, on ne va rien lâcher le dernier jour quand même. »

Hélène, inspirée : « DOUREUUUUUUUH »

Fleur, hippie moderne : « On a déjà hâte de revenir l’année prochaine, c’est toujours une surprise, même si on est dans un environnement familier, cette petite touche d’inconnu entre les gens que l’on rencontre, les artistes qu’on voit pour la première fois et le retour à cet état sauvage. »

Matthias, Français : « ON EST CHAMPIONS DU MONDE. »

Esteban, impatient : « J’ai envie de dire que jusqu’ici tout va bien mais on va penser que je fais du plagiat… Sinon, on attend de voir le closing de ce soir avec Manu Le Malin qui va surement nous en mettre plein les oreilles. Ça va ramasser demain… »

Sara, sportive : « Cette année les pogos vont laisser des traces… Mais c’est plutôt positif, non ? »

Théo, inspiré (bis) : « Désolé pour l’attente, j’étais aux toilettes… On peut garder ça comme phrase ? »

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Tom, fataliste : « Cette année c’était vraiment costaud… mais bon c’est ce que je me dis chaque année. »

Clara, trendsetteuse : « Il a fait tellement chaud cette année qu’on a dû s’adapter vestimentairement parlant. On dirait un peu Mad Max mais au final cette veste adidas en lambeaux, ça le fait non ? »

Nicolas, prévoyant : « Bon, on n’a pas une paire de lunettes différente pour chaque jour du festival mais on est quand même venus équipés. »

Benoît, inspiré (tris) : « Vous avez pris mes amis en photo, ben du coup moi aussi je suis là. »

Hugo, petit malin : « Vous avez vu ? J’ai fait un effort pour saboter votre série photo et avoir l’air plus propre le dernier jour que le premier. »

Marine, incognito : « J’ai gardé les lunettes sur les deux photos, comme ça si jamais on tombe sur moi par hasard je n’aurai pas de regrets. »

Nicolas, enjoué : « Je viens de sortir de Polo et Pan, putain la claque. »

Jeff, Clooney : « Clairement, j’ai gardé le smile pendant toute la durée du festival, j’ai bien dormi, j’ai bien mangé, j’ai bien fait la fête, on ne m’a rien volé… What else ? »

Thibaut, mathématicien : « Je ne sais même plus combien de Dour j’ai fait mais en tout cas celui-ci n’a rien à envier aux éditions précédentes. »

Lola, agneau égaré : « Désolée j’étais avec deux potes, je les ai perdus, mais au moins moi je suis là, fraîche ou pas. »

Bonus : de belles personnes perdues en chemin. On espère que vous êtes tous bien rentrés à la maison.

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