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Du gros son et des petites fesses sales : la double vie des parents DJs
« Mon amour pour mon fils a dépassé mon amour pour la musique, de peu. Mais j'aime tellement la musique que même si je finis par avoir trois enfants, j'arrêterai pas. »
Typologie du DJ de balcon en période de confinement
Ce drôle de spécimen a pullulé un peu partout depuis le début de la quarantaine. Mais que nous veut-il au juste ?
Pitié, arrêtez de supposer que tou·tes les DJs noir·es jouent du hip-hop
« Je me tape des commentaires du style : "Tu fais du scratch", ou "Tu rappes, c’est ça ?" Pourtant mes mixes varient entre micro-house, breakbeats, house et techno. »
Ces collectifs qui font bouger la Belgique d’après minuit
« Notre soirée à Liège, c’était le bordel ; on aurait dit une émeute ! »
Des jeunes DJ Belges nous parlent de leur manque de sommeil chronique
Les problèmes d’insomnie sont-ils propres au job de DJ ?
La rentrée des clubs : photos de classe de 12 DJs belges
Et iels nous racontent aussi leurs années passées sur les bancs de l'école.
En fait, c'est bien trop facile de rentrer gratos en festival
Trois jours, trois festivals - et pour pas une cenne.
Je suis allée à la Boiler Room de Charleroi avec DJ Dziri
« Voir son nom à côté de celui d’Ellen Allien et Model 500, c’est pas rien quand-même. »
Cinq questions à propos du dj-set solitaire de Steve Aoki dans un Tomorrowland désert
Devant le DJ-booth d'Aoki - qui ressemblait à la tombe d'un homme d'État récemment décédé -, on a pu voir une plaque d'égout et, à l'arrière-plan, une pelleteuse du service de jardinage provincial qui passait tranquillou.
J'ai passé une semaine à suivre le régime de la DJ belge Black Mamba
J'ai suivi la gantoise de la salle de sport au club et vice-versa, pour voir comment garder la forme quand on évolue dans le monde de la nuit, prétendument malsain.
Profession : DJ de stade
Vincent nous explique pourquoi on entend toujours les mêmes maudites tounes pendant les matchs.
Le DJ est-il un travailleur aliéné ? On a posé la question à DJ Sprinkles
« Je fais ce travail uniquement par nécessité économique, parce que je le déteste moins qu’un travail de bureau, ou n’importe quelle autre façon horrible que je pourrais avoir de gagner ma vie avec mes compétences actuelles. »